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Henri PRIGENT

Henri PRIGENTChant/Guitare

Avant 1967, Henri chante (déjà !) dans un groupe constitué, à Lyon, de copains de lycée : répertoire yéyé, tout en écoutant les Beatles et les Rolling Stones qui vont l’influencer dans la suite de son parcours musical. Il en fait son "fond de commerce", tout en écoutant les Beatles et les Rolling Stones qui influenceront la suite de son parcours.

1967/69, "The CHILDREN OF THE MOON", nom inspiré par la face B du 45 tours "Jumpin' Jack Flash" des Stones, donne le ton au nouveau groupe qui puise son répertoire chez les brits (Stones, Spencer Davies group, Animals, Moody Blues…).
Le groupe compte parmi ses membres
Michel Ségui à la batterie.

1969/70 : "The CONVENTION", groupe créé pour faire du bal, avec un répertoire de variété française et pop-rock anglo-saxon.

1970/72 : "VOLUME" . Changement de style pour une plongée dans les sources du Hard Rock naissant. Au répertoire Hendrix, Black Sabbath, Ten years after…

1972/78 : avec "CENTAURE", une nouvelle aventure commence pour le groupe, composé de François Verrier à la guitare, Roger Joris à la basse, Daniel Rumeau aux claviers, Michel Ségui à la batterie (remplacé plus tard par Christian Genty) et Henri au chant. L’apport d’un clavier permet d’explorer d’autres pistes musicales, et l’on trouve au répertoire des chansons de Deep Purple, Santana, The Doors, Stones… Le groupe est un des piliers des soirées du BURTOR.

Cette activité soutenue devient incompatible avec une vie familiale. Ajoutée à un phénomène de lassitude, Henri vend son matériel et arrête son activité musicale en 1979.
Mais le virus est toujours présent puisque, au début des années 90, Henri fait l'acquisition d’une guitare et d’un ampli.

1995/2000 : "DALTON STORY".
1995, un copain qui se remet à la batterie, une répétition un samedi après midi qui en entraîne une autre, la recherche d'un bassiste et d'un guitariste : voilà comment naît "DALTON STORY", au répertoire Pop Rock .

2000/200… Henri rencontre Dominique Delannay dans le cadre de l’activité musique du CE de l’entreprise où ils travaillent tous les deux.
Une répétition tous les lundi soirs et la constitution d’un répertoire faisant la part belle au rock des 70th et 80th, la partie rythmique étant assurée par une boite à rythme Boss : c'est reparti pour un tour.

2004 : "Bad influenceS".
La boîte à rythme a ses limites.
Michel Ségui, le vieil ami qui a repris du service derrière sa batterie, obtient une salle à Saint-Laurent de Mure. Aussitôt, les répétitions à trois s'organisent ; et le courant passe...
Il manque une basse ?
Jean Marc Fogolin rejoint le groupe en mars 2005, pour s'y fondre.
Le groupe se produit pour la fête de la musique ? il est urgent de trouver un nom ! Plusieurs pistes sont explorées. C’est finalement le titre d’une chanson du répertoire, «Bad influence» de
Robert Cray, qui prêtera son nom au groupe actuel.
Dernier arrivant, mais pas un inconnu pour Henri et Michel,
Daniel Rumeau retrouve claviers et jeunesse en se joignant au groupe en janvier 2007.
Et de 5 !

Matériel Utilsé :

Guitares : Fender stratocaster US + Electro acoustique Takamine TAN30C
Amplis : Laney 50w tout lampes + Marshall AS 100D

 

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